L’allure trébuchante au hasard des tanières,
j’entends les mots que chante un César à Pompée.
Je marche à la merci des saisons grimacières
sur la cendre noircie de liaisons estompées.
A.H.
L’allure trébuchante au hasard des tanières,
j’entends les mots que chante un César à Pompée.
Je marche à la merci des saisons grimacières
sur la cendre noircie de liaisons estompées.
A.H.